Petite rando, mais vertige assuré
Matinée studieuse, MJ prépare le
dossier pour un article pour V&V sur l'association
Acoeurdeau et rédige le message d'hier pour le blog ; JA bricole
sur le bateau, matelotage divers et varié. La vue de la terrasse
(pardon du cockpit) n'est pas des plus désagréables, accompagnée
du chant des oiseaux le matin et des puffins (autre oiseau, bien
entendu !) à la tombée de la nuit.
Midi, barbec de sortie pour un pargo
acheté très cher à un pêcheur (pas autorisé...) mais excellent
de chez excellent, juste cuit à point avec des ptits légumes
préparés avec soin par MJ.
Après une sieste, bien évidemment,
nous décidons (JA poussé vivement par MJ) de faire une "petite
rando" au départ de Lajès. Un petit coup de stop en haut du
village et nous montons avec le propriétaire de Stef, un voilier
à l'histoire un peu particulière. Il a été acheté par cet
açoréen aux douanes locales qui l'avaient intercepté et avaient
entièrement détruit les aménagements intérieurs pour y trouver
de la drogue. Depuis son acquisition, il y a dix ans, il
reconstruit les aménagements de ce voilier de 11 mètres.
Il rentrait chez lui à Faja Grande
mais fait un détour pour nous déposer au départ de la rando
(gentillesse légendaire des açoréens). Petite rando de 2heures
aller-retour que nous entamons à 17h. Belle balade mais qui
commence mal pour JA. En effet, la descente vers la Faja de Lopo
Vaz se fait sur un chemin sur le flanc d'un tombant de 200m et
il n'y a pas de flore pour cacher l'à-pic.
Sujets au vertige, s'abstenir.
Eh oui, mais JA reste sur place et MJ continue seule son chemin. Au bout de 10', au lieu de rebrousser chemin, il décide de faire une cinquantaine de mètres de plus et … la partie la plus problématique était passée. S'en suit une très belle descente vers la faja où il n'y a pas âme qui vive mais 4 vaches et autant de petites maisons fermées. Il doit bien y avoir quelqu'un pour s'occuper des vaches...
Sujets au vertige, s'abstenir.
Eh oui, mais JA reste sur place et MJ continue seule son chemin. Au bout de 10', au lieu de rebrousser chemin, il décide de faire une cinquantaine de mètres de plus et … la partie la plus problématique était passée. S'en suit une très belle descente vers la faja où il n'y a pas âme qui vive mais 4 vaches et autant de petites maisons fermées. Il doit bien y avoir quelqu'un pour s'occuper des vaches...
Retour tous les deux ensemble cette
fois, JA réussit le passage délicat sans problème. Il vaut
mieux, sinon, il y serait toujours.
Retour à pieds à Lajès en traversant
un hameau, découverte d'un enclos à canards bien particulier
(l'enclos, pas les canards).
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