Petite visite du nord de l'île.
10H00 - direction la terre après avoir "imposé" à Yves "son arbre de Noël". Entendez par là la garcette entre les échelons de mât et les galhaubans suite à ses nombreux déboires de drisses se prenant dans les barreaux et l'empêchant de hisser sa grand-voile. infurcado (?) de 8 kilos. Belle bête!
Jean-Alain reprend encore une fois l'annexe pour porter le poisson à bord… Puis
courses à la ville. Aujourd'hui, les Cap-Verdiens fêtent la démocratie mais les
magasins sont ouverts. Et…Jean-Alain reprend l'annexe pour mettre les achats à
l'abri.
Nous voyons un restaurant sur la place de l'église qui est
ouvert. Le nom figure sur notre guide. Nous entrons et sommes accueillis par un
grand gaillard hâbleur qui prend … un
pastis. Il vit en région parisienne et revient plusieurs fois par an au pays en
attendant de s'y installer à la retraite. A l'écouter, on peut penser (ce qu'on
fait d'ailleurs) que c'est le proprio …qu'il nous présentera un peu plus tard.
Repas de poissons puis aluguer pour aller dans le centre vers la ville très
animée d'Assomada que nous traversons sans nous arrêter jusqu'au petit village de Picos que nous visitons à
pied.
Nous voulons revenir vers notre point de départ mais tous
les aluguers sont complets d'autant qu'il y a une fête ce soir à Tarrafal. Un
aluguer, ou supposé tel, qui revient
d'un petit chemin nous propose de nous y emmener et nous nous installons à
l'arrière sur des bancs.
A la ville d'Assomada , un autre aluguer klaxonne avec insistance et nous poursuit, obligeant notre véhicule à
s'arrêter. Après discussion animée entre eux, notre chauffeur nous explique
tout penaud, et visiblement sous contrôle, qu'il ne peut nous emmener plus loin
et réclame son dû. Nous devons descendre sans avoir tout compris des subtilités
''aluguériennes".
Nouveau maquillage à breveter ! |
L'autre chauffeur nous propose alors de nous emmener; ce
que nous refusons catégoriquement après de multiples sollicitation très
appuyées. Pour nous en débarrasser, nous entrons dans un marché. Plusieurs
vendeuses délirent en fin de marché. Notre arrivée n'est pas pour les calmer,
loin s'en faut.
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