Les fumerolles encore et toujours...
Départ
vers 11 h pour
Furnas. Nous partageons en effet la voiture de loc de Jean Paul et
Richard rencontrés dans une autre tranche de vie à Horta. Ils sont
arrivés depuis peu à Ponta Delgada depuis Velas sur leur cata,
un Outremer 46, nommé Mî Ha Long, du prénom de Mî, d'origine
vietnamienne, repartie ce matin même en avion sur Paris.
Découverte pour François de Furnas et de ses étranges fumerolles et des puits de cozido. Mais vous connaissez déjà, on ne va pas insister (voir épisode début août avec José Luis). Seule différence, c'est sous la pluie cette fois que nous nous baladons près du lac.
Nous
poursuivons vers la ville de Furnas pour une pause déjeuner qu'on
voulait rapide et simple. Ce fut simple, pas très bon (petits pois-carottes en boite) ni chaud et
pas rapide du tout !! L'adresse ? Chez
Tony's, on
vous la déconseille ! Et, il paraît que c'est MJ qui y a mis le
pied en premier !!... Elle, elle voulait filer direct sur Ribera
Quente pour manger mais... personne ne lui a fait confiance, JA leur
a soufflé qu'elle l'avait tant de fois fourvoyé dans des mauvais
plans, où on ne trouve pas de quoi faire bombance (oui mais JA avait proposé O Miramo, excellent).
Et, c'est reparti toujours sous le déluge de pluie vers Ribera
Quente du coup. Là, on aurait déjeuner dans un petit resto sympa
mais personne n'a fait confiance à MJ, voilà...
En fait, c'est un petit port de pêche ordinaire très accessible et
assez fréquenté. Pas vraiment le hameau de pêcheurs typique et
charmant décrit dans le Petit Futé et présenté par MJ comme tel... Et les averses, toujours les
averses. Après une halte à l'entrée de la ville pour admirer
d'autres fumerolles et des dépôts de soufre, route vers le bain
chaud de Furnas. Décidément, on aime ça !! Là, ô bonheur, une
belle éclaircie le temps de faire trempette dans une eau rougeâtre
à 39°.
Un petit détour au miradouro Pico do Ferro pour jouir de la vue
panoramique sur les environs, ville et lac et il est temps de prendre
le chemin du retour car Richard prend l'avion le lendemain matin de
bonne heure. Nous le lâchons à la marina pour qu'il fasse ses
bagages et repartons vers l'hypermarché de la capitale pour un bon
avitaillement en prévision d'une traversée vers Madère le lundi.
Mais la météo est capricieuse ces temps-ci !
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