dimanche 16 septembre 2012

Vendredi 14 septembre

Les fumerolles encore et toujours...
Départ vers 11 h pour Furnas. Nous partageons en effet la voiture de loc de Jean Paul et Richard rencontrés dans une autre tranche de vie à Horta. Ils sont arrivés depuis peu à Ponta Delgada depuis Velas sur leur cata, un Outremer 46, nommé Mî Ha Long, du prénom de Mî, d'origine vietnamienne, repartie ce matin même en avion sur Paris.



Découverte pour François de Furnas et de ses étranges fumerolles et des puits de cozido. Mais vous connaissez déjà, on ne va pas insister (voir épisode début août avec José Luis). Seule différence, c'est sous la pluie cette fois que nous nous baladons près du lac.
Nous poursuivons vers la ville de Furnas pour une pause déjeuner qu'on voulait rapide et simple. Ce fut simple, pas très bon (petits pois-carottes en boite) ni chaud et pas rapide du tout !! L'adresse ? Chez Tony's, on vous la déconseille ! Et, il paraît que c'est MJ qui y a mis le pied en premier !!... Elle, elle voulait filer direct sur Ribera Quente pour manger mais... personne ne lui a fait confiance, JA leur a soufflé qu'elle l'avait tant de fois fourvoyé dans des mauvais plans, où on ne trouve pas de quoi faire bombance (oui mais JA avait proposé O Miramo, excellent).
Et, c'est reparti toujours sous le déluge de pluie vers Ribera Quente du coup. Là, on aurait déjeuner dans un petit resto sympa mais personne n'a fait confiance à MJ, voilà...
En fait, c'est un petit port de pêche ordinaire très accessible et assez fréquenté. Pas vraiment le hameau de pêcheurs typique et charmant décrit dans le Petit Futé et présenté par MJ comme tel... Et les averses, toujours les averses. Après une halte à l'entrée de la ville pour admirer d'autres fumerolles et des dépôts de soufre, route vers le bain chaud de Furnas. Décidément, on aime ça !! Là, ô bonheur, une belle éclaircie le temps de faire trempette dans une eau rougeâtre à 39°.
Un petit détour au miradouro Pico do Ferro pour jouir de la vue panoramique sur les environs, ville et lac et il est temps de prendre le chemin du retour car Richard prend l'avion le lendemain matin de bonne heure. Nous le lâchons à la marina pour qu'il fasse ses bagages et repartons vers l'hypermarché de la capitale pour un bon avitaillement en prévision d'une traversée vers Madère le lundi. Mais la météo est capricieuse ces temps-ci !

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