Covadonga et Oviedo
Ni convaincus, ni
convertis par les lieux saints et naturels.
Puf !Aucun respect |
Rien d'exceptionnel !
Sinon que le commerce des médailles et autres bondieuseries se
porte
à merveille et nombreuses sont les bigotes espagnoles qui se ruent
dans les boutiques aux abords de la basilique ! A quelques pas,
une
file d'attente pour pénétrer l'antre de la vierge, bercée par de
mélodieux chants religieux...
D'ailleurs, on renoncera faute
d'illumination et de temps ! C'est sans doute bien regrettable,
nous
direz-vous. Sur ce, nous nous engageons sur une petite route de
montagne sinueuse où circulent nombre de véhicules pour accéder
aux lacs Enol et de la Ercina.
Relief karstique |
Balade à pied dans ces espaces
aménagés, trop à notre goût, et points de vue agréables mais
sans plus. Toutefois, dans le paysage karstique (ah! Vous en savez
toujours ce que ça veut dire, hein ?) de la mine abandonnée de fer
et de manganèse, s'élèvent des pointes de dentelles rocheuses
assez remarquables.
Pause rembarde |
Pause déjeuner à
16 h (normal, on est en Espagne !) à Congas de Onis qui n'a pour
mérite que d'avoir su sauvegarder un magnifique pont « romain »
du XIIe à l'architecture élancée et asymétrique !! Route vers
Oviedo, ville classée au patrimoine mondial... Grâce à
l'architecture féminine des ninas locales, comparables à des
gourmandises acidulées perchées sur de très hauts talons,
peut-être ??... Car par ailleurs, rien de notable ou de mémorable
!
Petit au-revoir à Richard ou tout au
moins à sa Brasserie où nous grignotons de goûteux et fondants
calamares fritos faits maison sans aucun doute ! Dommage, il
rentrera
trop tard de sa sortie chez des amis et on se contentera de lui
laisser un petit mot sur le set en papier mais en espagnol
s'il-vous-plaît !
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