Tobago Cays
Après fait nos adieux à Veronica et Larson (jusqu'à la prochaine
fois !) et quitté les Nonobstant, nous faisons route au moteur (vent
dans le nez et fort courant) pour une petite heure vers les Tobogo
Cays.
A 10 h, nous prenons un mouillage à Baradal tout près du
Horse Shoe Reef.
A peine arrivés, nous sommes accueillis par un ballet de tortues qui
passent et repassent près de Manu Atea. Welcome to Tobago !
Sans
parler d'une famille nombreuse de poissons-coffres qui a élu
domicile sous le bateau.
Bien cachée la sole "caméléon" |
Cools, nous restons là à bouquiner, siester... et on se décide à
palmer jusqu'au banc de corail pour découvrir les fonds et leurs
occupants.
Au fait, toujours pas de Nonobstant en vue, ils devaient pourtant nous rejoindre à Baradal... après avoir traîné sur le cata de Véronica et Larson au moment des adieux...
Après une bonne nuit de sommeil (le mouillage est relativement
calme), nous attendons que les demoiselles tortues se décident à
nous rendre visite, ce qui arrive vers 9h30-10h !
Les poissons-coffres sont toujours là et même encore plus
nombreux... et pas farouches du tout !
Un grand banc de petits calamars se sont joints à eux ce matin...
Quelle chance, on est par hasard au bon endroit pour admirer
tout ce petit monde.
Nous poursuivons notre exploration le long de Baradal et découvrons
un énorme poisson-coffre, une jolie orphie, un barracuda de belle
taille... et des tortues bien sûr !
Retour palmé dans le courant mais pas de souci... On est super
entraînés ces temps-ci avec nos quelques heures de plongée par
jour !
Au moment de nous mettre à table, après avoir décliné quelques
offres d'achat de langoustes des boat-boys, nous apercevons une
barque à la dérive pour un problème de moteur.
Nous récupérons l'un des boys et l'accompagnons sur Petit Rameau où
il embarque sur Roméo pour aller remorquer son ami. C'est un gars
qu'on a croisé sur Mayreau et qui connaît Veronica et Larson.
Tout le monde connaît tout le monde d'une île à l'autre !
Palomètes intéressés par les particules libérées par nos palmes |
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