Nav vers la Martinique via la Dominique
Après quelques emplettes dans le bourg et le déjeuner (thon
au menu bien sûr !), nous prenons la route pour la Dominique. GV à un
ris et génois pour un vent apparent de 22 à
26 nds au près débridé. Arrivés à 18 h, nous faisons escale entre Salisbury et Saint Joseph,
au mouillage du Gasteway Beach Hotel pour la nuit.
Le lendemain, ce sera route vers St Pierre de la
Martinique où nous faisons escale à partir de 14h30. Vers 17 h, nous
débarquons pour découvrir l'endroit. La ville est quasi déserte, aucune
animation !
Atmosphère particulière qui règne dans ce cadre particulier
à l'histoire chargée de mémoire. Celle de l'ensevelissement de la cité et de sa
population suite à l'éruption de la Montagne Pelée en 1902.
Seul survivant, Cyparis dont on retrouve le cachot
non loin du fameux théâtre qui fut la gloire de St Pierre à sa grande époque. Aucun
panneau explicatif ni même indicateur pour mettre en valeur ce patrimoine riche
d'histoire et d'art ! Dommage...
Le vendredi matin, direction les Anses d'Arlets, plus
exactement la petite où nous prenons une bouée de mouillage. Attention, les
premières bouées n'offrent que très peu de fond !
Balade à pied vers Grande Anse pour ¾ d'heure de
marche mais sans point de vue vers la baie voisine... (pas du tout de wifi sur Grande
Anse !)
Pause sur la plage pour un pot rafraîchissant avec une vue
exceptionnelle sur un trimaran Margaret que convoite actuellement
(éventuellement !) notre ami Manu. C'est sûr, ça le changerait de son
Kirk ! Retour en stop sur Petite Anse.
Et le samedi, c'est le départ pour le Marin ! Vent dans le nez et petit clapot dès que l'on s'éloigne de la côte. Nous faisons la petite erreur de passer à l'extérieur du Diamant, le clapot est un peu plus sévère. Dès que l'on peut, on retire vers la côte et l'on tricote à terre. Un cata remontant au moteur, of course, perd sur nous à chaque croisement jusqu'à ce que, à un semi-mille de l'entrée du chenal, la gaine du bout de réglage du filoir de génois cède sous le bloqueur. On enroule et on finit au moteur...
Au Marin, nous retrouvons Mora Mora, Maxxride et No Rayv (le bateau de Claude & Jo est au
chantier pour une voie d'eau dans le tube de jaumière !) mais également sur
notre ponton une famille suissesse rencontrée à la Gomera sur un Sun
Fizz Into the Wild.
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