Rando encore... Rabaçal, la cascade
de Risco et ses 25 sources !
Partis
de bon matin ou presque, fidèles à nos habitudes, c'est-à-dire
vers 11 h, c'est vers l'ouest de l'île que nous nous dirigeons. Nous
avons en effet choisi de découvrir la
randonnée enchanteresse dans la région des sources du haut plateau,
dit le guide.
En premier lieu, depuis le parking, il faut descendre sur la route interdite vers la maison forestière de Rabaçal. Courageux et motivés que nous sommes, nous dédaignons la navette proposée à 5 € A/R. Après un pique nique frileux (eh ! Oui. Fait pas chaud sur les hauteurs !), on engage la marche d'un bon pas suivant nos jeunes et dynamiques compagnons de rando, Francis et Annick.
En premier lieu, depuis le parking, il faut descendre sur la route interdite vers la maison forestière de Rabaçal. Courageux et motivés que nous sommes, nous dédaignons la navette proposée à 5 € A/R. Après un pique nique frileux (eh ! Oui. Fait pas chaud sur les hauteurs !), on engage la marche d'un bon pas suivant nos jeunes et dynamiques compagnons de rando, Francis et Annick.
La
levada est bordée d'un chemin plus ou moins large selon les passages
pour déboucher sur un chemin sécurisé par un garde-fou vers la
gorge profonde de la Ribeira Grande que nous franchissons par un
pont. Après un chemin très étroit, la bruyère arborescente forme
un toit fermé de tunnel au-dessus des têtes et atténue
l'escarpement prononcé de la pente. C'est bien pour nos nerveux
du
vertige, que sont JA
et Annick, comme les appelle Francis ! Longeant la levada, on arrive
dans une cirque rocheux aux parois verticales recouvertes de fougères
vertes sur lesquelles ruissellent les 25 sources jusque dans les
petits étangs qui les accueillent. Joli cadre ! On poursuit un peu
vers la vallée de la Ribeira dos Cedros avant de faire demi-tour
faute d'un accès correct.
On remontons
ensuite vers la cascade de Risco que nous avions négligée à
l'aller et regagnons le point de départ à la maison forestière.
Mais, ce n'est pas fini, faut-il encore récupérer la voiture qui se
trouve là-haut sur le parking. Les jambes commencent sérieusement à
fatiguer après cette première remontée mais gaillards que nous
sommes une nouvelle fois, nous avons à peine un regard pour la
navette et armés de nos dernières forces arpentons la dernière
côte en traînant les jambes.
Nous avons tout de
même marché près de 4 heures en tout.
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