vendredi 7 septembre 2012

Mardi 4 août 2012

Horta, tourné aussi vers la pêche
Comme à l'habitude, nous prenons notre temps le matin puis sortons faire une ou deux courses chez le ship, genre amortisseurs de quai par exemple ! Et, il est bien vite l'heure de retrouver Gonçalo pour un déjeuner au café Volga qui nous sert un menu complet, café compris pour 6,50 € (mais sans dessert, regrette JA, le pas sage). 
Dans le cadre de son travail, il embarque demain pour 2 ou 3 jours sur un bateau de pêche avec une équipe de tournage canadienne filmant pour «1 000 images pour ma planète». Après le déjeuner, il nous entraîne sur les quais des bateaux de pêche pour nous faire découvrir les bateaux sur lesquels il part habituellement en investigation marine. Toujours intéressant de découvrir 

- la préparation des palangres aux centaines d'hameçons mais ici ce sont des palangres de surface
- le poisson débarqué, en l'occurrence des requins, espadons etc congelés et dépouillés de leurs ailerons et queues directement dans un conteneur frigo. Devinez la destination...
Après-midi pédalage en ville, achat d'un nouveau tee-shirt pour JA (et encore un !!) et tentative pour faire réparer son vélo qui a encore deux rayons pétés. A notre retour, nous préparons rapidement Manu Atea (enfin, surtout JA car MJ est entreprise dans une conversation in english avec le voisin de ponton canadien, Adam... Ben voyons !) pour une longue nav au moteur (si peu de vent et dans le nez !) de 4 milles juste en face , vers Madalena do Pico où nous mouillons vers 20 h.

Nous sommes seuls, si on peut dire, car les travaux de la digue, toujours pas terminés, se poursuivent jusque tard dans la soirée. Mais, pas très gênant, cela ne nous empêche pas de dîner en terrasse !

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