Banalités d'escales
Bien
peu à raconter à vrai dire pour ces deux journées. Il ne fait pas
beau. On a même le droit à de l'orage et des averses... Incroyable,
du jamais vu pour nous aux Açores !! JA a même pris la précaution
de débrancher l'antenne VHF et d'arrêter toute l'électronique le
premier matin, c'est dire !
Enfin,
on est malgré tout toujours aussi occupés mais on ne sait pas bien
dire par quoi en fait...
Le
lundi matin, nous partons nous renseigner à l'office du tourisme (on
y parle le français!) pour les horaires de bus, les musées et
expos, etc... Et, sur la route du retour, la faim se faisant sentir,
nous nous arrêtons déjeuner dans un petit resto La Mascotte, pour
un bife frites. Mais pas terrible, on ne le recommandera pas.
Nos
occupations ? Écriture encore et toujours pour MJ, ordi du bord qui ne
tourne pas rond pour cause de virus pour JA, errance dans la ville et lèche-vitrines
à l'occasion de quelques courses. Nous sommes en effet à la
recherche d'un tuyau de gaz pour la gazinière et ce n'est
pas facile du tout à dénicher. Cela nous entraine, renseignement
pris, dans les hauteurs de la ville où se trouve le Parque
Atlantico, le Centre Commercial de l'île, que dis-je des Açores,
immense galerie marchande comme chez nous, dites-donc !! Il est vrai
que nous sommes à la capitale açorienne...
Et,
comme chaque soir à partir de 22 heures, nous profitons depuis notre
cabine, du concert du bar d'en face, le Baia dos Angos, pour des
morceaux de Sting ou autres tubes des années 80. Mais, cela n'est
pas du tout dérangeant, nous avons le sommeil lourd tous les deux !
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