Banalités d'escales
Bien
peu à raconter à vrai dire pour ces deux journées. Il ne fait pas
beau. On a même le droit à de l'orage et des averses... Incroyable,
du jamais vu pour nous aux Açores !! JA a même pris la précaution
de débrancher l'antenne VHF et d'arrêter toute l'électronique le
premier matin, c'est dire !
Enfin,
on est malgré tout toujours aussi occupés mais on ne sait pas bien
dire par quoi en fait...
Le
lundi matin, nous partons nous renseigner à l'office du tourisme (on
y parle le français!) pour les horaires de bus, les musées et
expos, etc... Et, sur la route du retour, la faim se faisant sentir,
nous nous arrêtons déjeuner dans un petit resto La Mascotte, pour
un bife frites. Mais pas terrible, on ne le recommandera pas.
Nos
occupations ? Écriture encore et toujours pour MJ, ordi du bord qui ne
tourne pas rond pour cause de virus pour JA, errance dans la ville et lèche-vitrines
à l'occasion de quelques courses. Nous sommes en effet à la
recherche d'un tuyau de gaz pour la gazinière et ce n'est
pas facile du tout à dénicher. Cela nous entraine, renseignement
pris, dans les hauteurs de la ville où se trouve le Parque
Atlantico, le Centre Commercial de l'île, que dis-je des Açores,
immense galerie marchande comme chez nous, dites-donc !! Il est vrai
que nous sommes à la capitale açorienne...
Sinon, nous prenons le
temps de papotages sur les pontons à l'occasion, notamment avec
l'équipage de Gringo basé à Cherbourg mais un peu partout depuis 3
ans et qui rentre tout juste de Terre Neuve. Isabelle est formatrice
et a pris un long congé de 5 mois pour naviguer avec Rémy, ancien
marin-pêcheur et spécialiste de la morue ! Alexandre, son fils de
31 ans, est intérimaire dans l'industrie et vit sur son bateau au
port de Cherbourg. On finit par un apéro à leur bord pour déguster
la spécialité de Rémy, les acras de morue !! Excellent ! On a pris
la recette mais on ne promet rien, rien du tout même !!... Isabelle,
Rémy et son fils Alexandre reprennent la mer demain matin pour
Cherbourg. On leur souhaite bon vent.
Et,
comme chaque soir à partir de 22 heures, nous profitons depuis notre
cabine, du concert du bar d'en face, le Baia dos Angos, pour des
morceaux de Sting ou autres tubes des années 80. Mais, cela n'est
pas du tout dérangeant, nous avons le sommeil lourd tous les deux !
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