A
Coruña
Avant
même notre arrivée au port, on s'était dit « Tiens, on va
bien rencontrer quelqu'un qu'on connaît!... » Eh oui, le monde
est toujours aussi petit. D'emblée, on croise et recroise un Sarzeautin, metteur en scène dont MJ avait fait le portrait pour
Ouest-France, et qui navigue sur un X40 avec l'AMCRE, assoc
d'équipiers et proprios voileux. Dès ce premier soir, nous filons à notre
cantine préférée El Serrano où nous commandons une des
spécialités, les calamares fritos que nous adorons, et quelques
autres tapas toutes aussi bonnes les unes que les autres. Le tout
arrosé d'un bon Rioja ! Et, pour la modique somme de 20 €.
Praza de Maria Pita. |
Second
soir, après une visite de l'expo surprenante mais peu émouvante
d'auteurs brésiliens en peinture, sculpture et photo, on teste La
Bombilla, resto de jeunes à des prix défiant toute concurrence. Et,
en plus c'est bon! 4 tapas et 2 verres de vin de Galice pour 8,30 €.
Qui dit mieux ? On enchaîne ce soir-là sur le marché médiéval
dans le vieux quartier de la ville. Des stands à n'en plus finir.!
Mais on y trouve notre bonheur pour quelques cadeaux en prévision
de... Chut ! Surprise.
Troisième soir, on file, toujours sur nos
petits vélos, vers la Fondation la Caixa de Galicia pour une expo
sur la vie et l’œuvre de Vieira Da Silva et Arpad Szenes, couple
d'artistes ayant partagé tant sur le plan sentimental que créatif.
Belle expo, on a le sentiment d'entrer dans leur vie, leur art et de
partager une tranche de vie avec eux ! Dernière expo à la fondation
Barrié qui nous laissera perplexes... « Type in Motion »,
en collaboration avec le Musée de design de Zurich, pour un panorama
de la scène créative internationale présentant les moyens actuels
de communication et la vision des jeunes designers, autant
d'opportunités paraît-il pour y lire le monde d'aujourd'hui !
Ouais, ouais... L'effort intellectuel a été tel que, sur ce, nous
allons nous « restaurer » à notre cantine habituelle, el
Serrano ! Finalement, le départ pour les Açores est reporté à
lundi, la météo nous étant a priori plus favorable. José Luis,
notre ami d'Avilès, nous annonce qu'il ne pourra nous accompagner
pour cette traversée, comme il l'avait pourtant si bien imaginé. A
son grand regret, quelques soucis matériels de dernière minute. Qui
sas, une autre fois ?
A noter : un nouvel album photos (cf adresse en haut à gauche).
A noter : un nouvel album photos (cf adresse en haut à gauche).
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