En quittant La Dominique, un grain crée l'ambiance sur Douglas Bay. Après une nav vent de travers sous GV un ris et génois, puis
grand largue pour le passage du Grand Ilet, nous arrivons au mouillage de
l'anse du Bourg. Nous affalons la GV quand la VHF se fait entendre :
« Manu Atea pour Sylva », une première puis une seconde fois. Pas de
doute, c'est pour nous, mais nous ne connaissons pas Sylva. Mais eux nous
connaissent, ont entendu parler de nous par notre ami Yves qu'ils ont rencontré
avant notre arrivée à Mindelo.
Nous débarquons sans tarder pour nous rendre au restaurant
la Saladerie tenu par un ami, ex-collègue de JA à l'IUT de La Rochelle. Surprise,
« Lozachmeur, nom de dieu », s'exclame-t-il. Le resto est bondé, pas
de place libre et plus de plats disponibles ! Mais Claude Edouard nous invite à
réserver une table le soir-même, il aura du temps pour discuter !
Nous partons en quête d'un autre lieu pour manger, il se
fait tard, 13h30 et nous avons les crocs...
Une affiche nous interpelle, c'est celle du resto La
Toumbana qui se situe sur la route de l'aérodrome, en dehors du bourg. Nous y
goûterons une fricassée de chatrous (poulpes) pour MJ et un colombo de poulet
pour JA, précédé du fameux boudin antillais et suivi d'une glace. Le menu est à
13 €, le plat à 12. Ce n'est pas bien cher mais les plats sont somme toute
ordinaires.
Petite promenade vers la Grande Anse, belle plage mais interdite de baignade pour les courants et rouleaux. Au retour, passage par le cimetière ; étonnantes les tombes toutes carrelées ou plus simples, un carré de terre entouré de coques de lambis.
Retour sur Manu Atea pour une bonne sieste. Le soir, vers 19 h, nous reprenons l'annexe pour retrouver Claude dans son resto. Il passe un moment à notre table, chacun se raconte. Cela fait maintenant environ 25 ans qu'il habite ici depuis son arrivée de transat avec sa fille âgée de 14 ans à l'époque. Il est tombé immédiatement sous le charme du lieu et ne l'a plus quitté. On peut le comprendre. On se sent de suite bien, quiétude et sérénité se dégage de ce petit village pourtant touristique. JA se dit même que c'est là qu'il aimerait s'installer plus tard pour les mois d'hiver quand il ne pourra plus naviguer aussi loin !
Retour sur Manu Atea pour une bonne sieste. Le soir, vers 19 h, nous reprenons l'annexe pour retrouver Claude dans son resto. Il passe un moment à notre table, chacun se raconte. Cela fait maintenant environ 25 ans qu'il habite ici depuis son arrivée de transat avec sa fille âgée de 14 ans à l'époque. Il est tombé immédiatement sous le charme du lieu et ne l'a plus quitté. On peut le comprendre. On se sent de suite bien, quiétude et sérénité se dégage de ce petit village pourtant touristique. JA se dit même que c'est là qu'il aimerait s'installer plus tard pour les mois d'hiver quand il ne pourra plus naviguer aussi loin !
Entre papotages, feuilletage du press-book de l'ami artiste
(peintures exposées dans la salle) et dégustations des sublimes plats proposés,
la soirée passe vite. Un vrai régal que l'assiette antillaise pour MJ (terrine
de marlin, crabe farci, poissons fumés) et daurade grillée excellente pour JA.
Pour conclure, bien que repus, nous nous permettons même une
glace sur croustillant à la coco...
Merci, Claude ! La prochaine fois, c'est nous qui
t'inviterons sur Manu Atea mais nous ne pourrons bien évidemment pas rivaliser
!!
Au retour de cette soirée, petit détour par le bateau Sylva
pour faire connaissance. A bord, Sève et Mathieu et leurs amis de passage,
Marie et François en vacances jusqu'à lundi. Le bateau fera route aussi vers la
marina de Bas du Fort (Guadeloupe) pour débarquer les invités. Nous nous y
rendrons aussi pour notre dernière étape avant l'arrivée de la petite famille
lundi soir...
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