Dimanche 23 février

Castries & Pigeon Point

Très courte nav toujours au près pour accéder à la baie de Castries. Nous ne nous arrêtons pas au premier dans la petite crique devant les énormes paquebots mais poursuivons jusqu'à la ville et posons la pioche. Nous sommes ainsi au coeur de la ville où nous débarquons de suite pour quelques achats, surtout les vacanciers qui, à la veille du retour en France, ne recule devant aucun sacrifice. Nous trouvons un tout petit resto local non loin pour manger un copieux plat de mouton ou poulet en sauce accompagné de beans, riz, bread fruit, bananes et dushin (??). Le tout pour 100 EC$, bières comprises à 5 !

Par curiosité, nous allons nous balader dans l'après midi de l'autre côté, à la pointe Séraphine qui abrite un immense centre commercial duty free au pied du gigantesque paquebot. Histoire de satisfaire l'appétit consommateur du flot de touristes qu'il déverse à terre le temps d'une escale...

Mais notre ami F n'a rien à leur envier car il poursuit sa boulimie vestimentaire en achetant divers tee-shirts et chemises très locaux. Certains pourront apprécier au retour si toutefois le soleil daigne se montrer un jour en Bretagne !...

A peine rentrés au bateau, nous repartons vers une nouvelle étape pour la nuit du côté de Rodney Bay, la fameuse anse qui accueille la non moins célèbre course de l'ARC.

Ce sera pour un mouillage sur ancre en soirée à Pigeon Point... Touristique à souhait ! C'est dimanche et chacun y va de sa musique préférée à donf sur la plage pour une party !

Restos et bars luxueux bordent la baie. Nous passerons rapidement notre chemin après un petit bain de mer sur la plage pour certains. Et rendez-vous sur Manu Atea pour le ti-punch bien sûr ! Rum Man va encore frapper ! Ah ! On a oublié aussi de vous présenter notre broyeur fou préféré, c'est B !

A chaque occasion, il n'hésite pas une seconde à jeter son dévolu sur la moindre malheureuse bonbonne d'eau vide qui traîne à bord... Depuis quelque temps, pour assouvir sa frénésie destructrice nous avons, d'un commun accord, décidé de les lui réserver. Et, c'est avec un plaisir non dissimulé qu'il exécute sans sourciller sa pauvre victime dans un souci écologique, nous rappelle-t-il .