Adios Graciosa, Retour continent
Ça y est, l'heure du départ sonne.
Lever aux aurores, même avant. Ici à 7h15, le jour tarde à
poindre. Le ciel est un peu voilé et nuageux ce matin, par tristesse ?
Un dernier nettoyage, quelques emballages de dernière
minute, couper le gaz et les batteries (après les avoir complétées au moteur),
fermer les vannes, mettre le taud et les cadenas, tiens, nous avons oublié de
descendre les pavillons Breizh et Espagnol !
Un tour à la capitainerie, Pedro est là aujourd'hui, pour
régler les 3 mois de port, une douche vite fait, les billets de ferry et
commander un taxi pour les 40
kg de bagages (eh oui MJ…) et nous voilà quittant notre
petit paradis. Il y fait 22° à 8h et 25° quand nous prenons le bateau à 12h30.
Manu Atea va se sentir bien seul pendant 3 mois mais Mora Mora va lui tenir
compagnie pour quelques jours en fin de semaine.
Bateau jusqu'à Orzola, un peu de retard pour cause
d'encombrement au port, transport hors du commun d'un camion poubelle et nous
prenons le bus qui nous a attendus, pour Arrecife.
Station un peu perdue dans un quartier sans intérêt, et nous
prenons un taxi pour le port où Swingy nous avait vanté un petit restau dont
nous n'avons pas retrouvé le nom. La taxiwoman nous amène dans un petit restau
d'habitués, le Molino, très bon et pas cher.
Nous y attendons l'heure de reprendre le taxi pour l'aéroport,
taxi qui tarde et nous en commandons un autre. Le premier arrive 15' en retard,
nous y montons pour redescendre au bout de 200m quand elle croise le taxi
commandé.
Bref on est à l'aéroport dans les clous et départ pour
Séville. Oui, nous y faisons un stop d'une nuit seulement et à regret. Nous y
serions bien restés quelques jours pour la découvrir. Arrivés à 22h, un petit
tour dans le vieux quartier de notre pension pour y gouter quelques tapas,
excellentes, dans un quartier agréablement animé et coucouche panier.
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